2011. május 29., vasárnap

Une photo intéressante-les abeilles-egy érdekes kép-méhek



Mets tes lunettes!
Il faut approcher de photo!
L'un abeille est un inspecteur (á droite), les autres abeilles sont les travailleurs manuels.
L'inspecteur a cri:
-Travailler!Travailler!
Les autres abeilles poussent un chose.
Bizarre.
Nézd meg közelebbről,nagyíts fel a képet.
Jobbra fenn van egy méh,mintha ő lenne a rabszolgahajcsár, aki azt kiabálja:
-Dolgozni,dolgozni!!!
A kép felső részén,középen pedig a többiek együttes erővel tolnak valamit, teljes erejükből nekifeszülve.

Un apiculteur est sur l'arbre!-Méhész a fán!




Nous avons fait le miel d'acacia de jeudi á dimanche.
La veille, un essaim a été sur l'arbre de pomme, mon père qui les a cueilli!
Si une ruche est plaine d'abeilles,une famille d'abeille partira pour un arbre.
Et il faut cueillir!
Csütörtöktől az akácmézet pergettük.
Tegnap egy raj felrepült az almafára, apunak kellett leszedni.
Ha tele a kaptár, egy család kiválik és "elköltözik", legtöbbször egy közeli fára.
Felteszünk egy keretet, arra másznak rá, így lehet őket levenni.
Nem egyszerű...

2011. május 26., csütörtök

á Budapest au zoo-Pesten az állatkertben






























Le week-end,j'ai rendu visite á mon amie et á sa fille á Taksony.
Nous avons joué beaucoup avec petite Hanna, nous sommes allées au zoo á Budapest,la petite fille y a été premiére fois! Elle l'a aimé.
Hétvégén egy régi barátnőmnél és a kislányánál voltam Taksonyban.
Sokat játszottunk a kis Hannával, azután elmentünk az állatkertbe Pestre, nagyon szerette, most volt ott először.

2011. május 20., péntek

Antoine de Saint-Exupéry: L'art des petits pas - Fohász



J'ai pris cette photo á Eger.
A fényképet Egerben készítettem.

Antoine de Saint-Exupéry: L’art des petits pas

Seigneur, apprends-moi l’art des petits pas.
Je ne demande pas de miracles ni de visions,
Mais je demande la force pour le quotidien !
Rends-moi attentif et inventif pour saisir
Au bon moment les connaissances et expériences
Qui me touchent particulièrement.
Affermis mes choix
Dans la répartition de mon temps.
Donne-moi de sentir ce qui est essentiel
et ce qui est secondaire.
Je demande la force, la maîtrise de soi et la mesure,
Que je ne me laisse pas emporter par la vie,
Mais que j’organise avec sagesse
Le déroulement de la journée.
Aide-moi à faire face aussi bien que possible
A l’immédiat et à reconnaître l’heure présente
Comme la plus importante.
Donne-moi de reconnaître avec lucidité
Que la vie s’accompagne de difficultés, d’échecs,
Qui sont occasions de croître et de mûrir.
Fais de moi un homme capable de rejoindre
Ceux qui gisent au fond.
Donne-moi non pas ce que je souhaite,
Mais ce dont j’ai besoin.
Apprends-moi l’art des petits pas !


Antoine de Saint-Exupéry: Fohász

Uram, nem csodákért és látomásokért fohászkodom, csak
erőt kérek a hétköznapokhoz.Taníts meg a kis lépések művészetére!
Tégy leleményessé és ötletessé, hogy a napok sokféleségében és
forgatagában idejében rögzítsem a számomra fontos felismeréseket és
tapasztalatokat!
Segíts engem a helyes időbeosztásban!
Ajándékozz biztos érzéket a dolgok fontossági sorrendjében, elsőrangú
vagy csak másodrangú fontosságának megítéléséhez!
Erőt kérek a fegyelmezettséghez és mértéktartáshoz, hogy ne csak
átfussak az életen, de értelmesen osszam be napjaimat, észleljem
a váratlan örömöket és magaslatokat!
Őrizz meg attól a naiv hittől, hogy az életben mindennek simán kell
mennie!
Ajándékozz meg azzal a józan felismeréssel, hogy a nehézségek,
kudarcok, sikertelenségek, visszaesések az élet magától adódó
ráadásai, amelyek révén növekedünk és érlelődünk!
Küldd el hozzám a kellő pillanatban azt, akinek van elegendő bátorsága és
szeretete az igazság kimondásához!
Az igazságot az ember nem magának mondja meg, azt mások
mondják meg nekünk.
Tudom, hogy sok probléma éppen úgy oldódik meg, hogy nem teszünk semmit.
Kérlek, segíts, hogy tudjak várni!
Te tudod, hogy milyen nagy szükségünk van a bátorságra.
Add, hogy az élet legszebb, legnehezebb, legkockázatosabb
és legtörékenyebb ajándékára méltók lehessünk!
Ajándékozz elegendő fantáziát ahhoz, hogy a kellő pillanatban és
a megfelelő helyen - szavakkal vagy szavak nélkül - egy kis jóságot
közvetíthessek!
Őrizz meg az élet elszalasztásának félelmétől!
Ne azt add nekem, amit kívánok, hanem azt, amire szükségem van!
Taníts meg a kis lépések művészetére!

2011. május 16., hétfő

chats-macskák


















Chats,chats,chats...j'aime tellement les chats!
Ils sont intelligents,moelleux,gais et détestables.:)
Mes chats m'aiment suivre partout.
Macskák, macskák,macskák...szeretem őket!
Annyira okosak,puhák,vidámak és utálatosak.:)
Mindenhová követnek.

J'ai trouvé sur internet deux contes:

"Les Trois Chats" (Alain Gaussel)

Il y avait une fois, trois chats: un chat noir, un chat blanc et un chat gris.
Le chat blanc était tout blanc et il voulait être noir!
Le chat noir était tout noir et il voulait être blanc!
Le chat gris était tout gris et il était très content d'être tout gris!

Quand le chat blanc voyait quelque chose de noir, il se roulait dedans dans l'espoir de devenir noir.
Il se roulait dans la terre noire, il se roulait dans le charbon, il se roulait même dans le caca quand le caca était tout noir!

Quand le chat noir voyait quelque chose de blanc, il se roulait dedans dans l'espoir de devenir blanc.
Il se roulait dans le sucre, il se roulait dans la farine, il se roulait même dans le caca quand le caca était tout blanc, mais ça n'arrivait pas souvent!

A force de se rouler dans le noir, le chat blanc est devenu gris!
A force de se rouler dans le blanc, le chat noir est devenu gris!
Et il y a eu trois chats gris:
- un chat gris pas du tout content d'être gris, parce qu'avant il était blanc et il voulait être noir;
- un chat gris pas du tout content d'être gris parce qu'avant il était noir et il voulait être blanc,
- et un chat gris qui avait toujours était tout gris et très content d'être tout gris!

A ton avis, lequel de ces trois chats est le plus intelligent?
Moi, je crois que c'est le gris.
De toute façon il a plu!
Le chat blanc est redevenu blanc, le chat noir est redevenu noir, et le chat gris était toujours tout gris!

Ils étaient très content d'être comme avant! Et surtout ils ont été très content de s'être rencontré dans mon histoire et de s'être fait de bon amis: du chat blanc et du chat noir, du chat noir et du chat gris!
Parce que l'important dans la vie, c'est pas d'être blanc ou noir ou gris, mais d'être comme on est et d'avoir de bons amis!

Chat et souris emménagent (Grimm)

Il est bien connu que chat et souris ne font pas bon ménage; en voici la preuve.
Un chat avait fait la connaissance d'une souris et lui avait tellement conté fleurette qu'elle avait finalement accepté d'habiter dans la même maison que lui et de partager les dépenses.
"Avant que l'hiver arrive, nous devions faire des préparatifs si nous ne voulons pas mourir de faim", dit le chat à la souris.
Le bon conseil fut observé et un petit pot de beurre fut acheté. Mais ils ne savaient pas où il serait mieux de l'entreposer. Finalement, après de longues réflexions, le chat dit: "Je ne connais aucun endroit qui soit plus sûr que l'église; là, personne n'osera venir l'y chercher. Nous placerons le petit pot de beurre sous l'autel, et nous n'y toucherons plus."
C'est ainsi que le petit pot fut mis en sûreté. Mais il fallut peu de temps avant que l'envie prenne au chat d'en manger. Il alla donc voir la souris et lui dit: "Ce que je veux te dire, petite souris, c'est que j'ai été demandé comme témoin par ma cousine. Elle vient de mettre au monde un petit, tout blanc avec des taches brunes. Laisse-moi aller à son baptême et occupe-toi toute seule de la maison!" "Bien sûr, répondit la souris, va! Et si tu fais un bon repas, pense un peu à moi! Je boirais bien volontiers une goutte de bon vin!"
Mais tout cela n'était que mensonge. Le chat n'avait pas de cousine et nul ne lui avait demandé d'être témoin. Il se dirigea tout droit vers l'église, se faufila jusqu'au petit pot de beurre et en dégusta un peu. Puis, il alla faire une promenade sur les toits de la ville et prit un bain de soleil, tout en se pourléchant les babines à chaque fois qu'il songeait au petit pot de beurre. Il revint à la maison seulement lorsque le soir fut tombé. "Ah, te voilà enfin de retour!", dit la souris. "Tu as sûrement passé une belle journée." "Ça pouvait aller", répondit le chat. "Et quel nom a-t-on donné au chaton?", demanda la souris. "Un peu", répondit sèchement le chat. "Un peu, s'exclama la souris, voilà un nom assez singulier! Est-ce courant dans ta famille?" "Que trouves-tu donc à ce nom!", dit le chat. "Il n'est pas pire que Breuseldip, le nom de ton parrain."
Peu de temps après, le chat eut encore une autre fringale. Il alla voir la souris et lui dit: "Tu dois me rendre un service et t'occuper encore une fois du ménage toute seule; on m'a encore demandé comme témoin. Le petit a un collet tout blanc; je ne puis refuser". La bonne souris acquiesça, mais le chat, longeant les murs de la ville, se faufila plutôt jusqu'à l'église et mangea, cette fois-ci, la moitié du beurre. "Comme c'est bon!", se dit le chat.
Lorsqu'il revint à la maison, la souris lui demanda: "Quel nom a-t-on donné à ce chaton?" "La moitié", répondit le chat. "La moitié! Mais que me dis-tu là! Jamais de toute ma vie je n'ai entendu de nom pareil. Je parie qu'il n'existe même pas." Il ne tarda pas avant que le chat songe encore à sa friandise et que l'eau lui vienne à la bouche. "Jamais deux sans trois", dit-il à la souris. "Je dois encore assister à un baptême. Le petit est tout noir et avec du blanc au bout de ses pattes, mais il n'a pas un seul poil blanc sur tout le reste du corps. Cela n'arrive qu'une fois aux deux ans. Alors, tu me laisses y aller encore?" "Un peu, La moitié", répondit la souris, "ce sont là des noms bien étranges, des noms qui me rendent soucieuse." "C'est que tu restes là, coiffée d'une tresse et vêtue de ta jupe gris foncé, à attraper des grillons", dit le chat. "Voilà ce qui arrive quand on reste cloîtré toute la journée!"
La souris rangea et fit de l'ordre dans la maison pendant que le chat s'absentait et qu'il mangeait tout le reste du beurre." Lorsqu'il fut de retour à la maison, bien repu et bien dodu, la souris s'enquit auprès de lui du nom qu'avait reçu le troisième chaton. "Cela ne te plaira évidemment pas, dit le chat, il s'appelle Toutlereste." "Toutlereste!", s'écria la souris. "Mais qu'est ce que ça peut bien signifier?" Elle hocha la tête, se mit en boule et s'endormit. À partir de ce moment, plus personne ne demanda au chat d'être témoin.
Lorsque l'hiver fut venu et qu'aucune nourriture ne put être trouvée à l'extérieur, la souris se souvint de leurs provisions et dit: "Viens, mon ami le chat. Allons au petit pot de beurre que nous avons eu la sagesse de mettre de coté! Nous allons faire un festin." "Certainement, répondit le chat."
Ils allèrent donc à l'église et quand ils arrivèrent, le petit pot de beurre était bel et bien encore là, mais il était complètement vide. "Ha! ha!, dit la souris, maintenant je comprends ce qui s'est passé! Maintenant tout s'éclaire. Tu étais pour moi un véritable ami! Mais pendant que tu prétendais assister à des baptêmes, en cachette, tu mangeais le beurre: d'abord un peu, puis la moitié, et enfin..." "Veux-tu la fermer!" cria le chat. "Encore un seul mot, et je te dévore!" "... et enfin, tout le reste", avait déjà dit la pauvre souris. À peine avait-elle prononcé ces mots, que le chat bondissait sur elle, en faisait une boule, et l'avalait goulûment.

A macska meg az egér barátsága (Grimm)

Egy macska megismerkedett egyszer egy egérrel, s addig-addig mondogatta neki, hogy így meg úgy szereti, míg az egér rá nem állt, hogy egy házba költöznek, és közös háztartást vezetnek.
- Hanem télire készletet kell ám gyűjtenünk, különben felkopik az állunk - mondta a macska. - Neked, egérke, különben is vigyáznod kell, hová dugod az orrodat, még utóbb beleesel valami csapdába!
A jó tanácsot tett követte: vettek egy kis bödön zsírt; csak azt nem tudták, hová dugják. Hosszas töprengés után azt mondta a macska:
- Nem tudom, hol lehetne jobb helyen, mint a templomban, onnét ugyan senki el nem meri lopni; letesszük az oltár alá, s addig hozzá sem nyúlunk, míg a szükség rá nem kényszerít.
Biztonságba helyezték hát a bödönt; de kis idő múlva nagy étvágya támadt a macskának a zsírra, s így szólt az egérhez:
- Hallod-e, egérke, nénémasszony meghívott keresztkomának, gyönyörű cicája született, szép fehér zsemlefoltos, azt kell keresztvíz alá tartanom. Adj nekem kimenőt mára, viseld gondját egyedül a háznak.
- Csak menj isten nevében - felelte az egér -, s ha valami jót eszel, gondolj rám. Magam is innék egy gyűszűnyi áldomást a keresztelői aszúból!
Persze egy árva szó sem volt igaz az egészből; a macskának nem volt se nénjeasszonya, se keresztapának nem hívták meg. Ment egyenest a templomba, odaosont a bödönhöz, nyalni kezdte a zsírt, mind lenyalta a fölét. Mikor jóllakott, sétált egyet a háztetőkön, nézelődött, szemlélődött, aztán leheveredett, elnyúlt a napon, s nyalta elégedetten a bajuszát, valahányszor eszébe jutott a zsírosbödön. Nem is ment haza előbb, csak estefelé.
- No, megjöttél? - fogadta az egér. - Biztosan jól mulattál.
- Megjárja - felelte a macska.
- Hát a kicsinek mi lett a neve? - tudakolta tovább az egér.
- Lefölét - vetette oda kurtán a macska.
- Lefölét?! - kiáltott föl ámulva az egér. - Furcsa név, életemben ilyet nem hallottam még. Vagy a ti családotokban talán szokásos?
- Furcsa, nem furcsa, semmivel sem rosszabb holmi Morzsafalónál, ahogy a te keresztkölykeidnél járja - vágta el a vitát a macska.
Nem sokkal ezután megint csiklandozni kezdte a macska ínyét az étvágy.
- Igazán megtehetnéd újra a kedvemért, hogy egyedül viseled gondját a háznak - mondta -, engem megint keresztkomának hívnak, nem utasíthatom vissza, olyan szép fehér sáv van a cica nyakán!
A jóságos egérke megint beleegyezett a macska meg elosont a kertek alatt, belopódzott a templomba, és félig kinyalta a zsírosbödönt.
"Hiába, mindig az esik a legjobban, amit maga eszik az ember" - mondta, és szerfölött elégedett volt a napi munkájával.
Ahogy hazaért, kérdi az egér:
- Hát ennek a gyereknek ugyan mi lett a neve?
- Befelét - felelte a macska.
- Hogy mondod? Befelét? Életemben nem hallottam még ezt a nevet; fogadjunk, hogy nincs is benne a kalendáriumban!
Hanem a macskának csakhamar újra összefutott a nyál a szájában, valahányszor a bödönre gondolt.
Három az igazság - mondta az egérnek - megint keresztelőre hívnak, a kicsi fekete, mint a szurok, csak a mancsa fehér, de azon kívül aztán egy szál nem sok, annyi fehér szőre sincsen, az ilyesmi nagy ritkaság, minden szent időben egyszer ha megesik. Ugye, elengedsz?
- Lefölét! Befelét! - mormogta az egér. - Olyan fura nevek, annyit tűnődöm rajtuk.
- Mert folyton itthon kuksolsz a szürke háziruhádban, hagyod, hogy a hajad a nyakadba nőjön, és képzelődöl - felelte a macska. - Így van az, ha valaki ki sem teszi a lábát a szobából.
Míg a macska odajárt, az egér kitakarította, rendbe tette a házat. A pákosztos macska meg ezalatt kinyalta mind egy cseppig a zsírt a bödönből. "Addig úgysincs nyugta tőle az embernek, amíg mindet meg nem ette" - mondta magában, és csak késő este tért haza, kövéren, jóllakottan.
Az egérnek az volt az első dolga, hogy a harmadik keresztfiú nevét tudakolta.
- Biztosra veszem, hogy ez sem fog tetszeni neked - felelte a macska. - Úgy hívják, hogy Cseppetsem.
- Cseppetsem! - kiáltotta az egér. - Ez a legmeghökkentőbb név valamennyi közt, még sosem találkoztam vele nyomtatásban. Cseppetsem! Vajon mit jelent ez?
Fejét csóválta, összegömbölyödött, és lefeküdt aludni.
Ettől fogva senki nem hívta többé keresztkomának a macskát.
És nemsokára beköszöntött a hideg tél, odakint már nem akadt semmi ennivaló.
Akkor az egérnek eszébe jutott a macska bölcs tanácsa.
- Gyerünk, barátom - mondta neki -, keressük meg a bödönünket, eddig megőriztük, bezzeg most jólesik majd!
- Az igaz - felelte a macska -, jólesik majd neked, akárha az ablakot nyalogatnád.
Útnak indultak, s ahogy odaértek a templomba, ott volt a bödön a helyén, csakhogy üresen.
- Ó, most látom csak, mi történt, most derül ki, milyen barátom vagy! - kiáltotta az egér. - Azzal, hogy keresztelőre mégy, fölfaltad az egészet, előbb le a fölét, aztán be a felét, végül nem hagytál...
- Nem hallgatsz! - rivallt rá a macska. - Ha még egy szót szólsz, bekaplak!
...cseppet sem - mondta a szegény egér, mert már a nyelvén volt, s akarta, nem akarta, kiszaladt a száján.
A macska utána ugrott, de az egér gyorsabb volt, elszaladt. Azóta is vigyáz, hogy a macskával ne találkozzék.